Beaucoup de boulot et peu/pas de rencontre ces derniers temps. Malgré tout j’ai pu rencontrer Chloé ce vendredi. Notre rencontre était assez atypique, on avait plein d’amis en commun, et c’est le hasard des choses qui nous a fait rencontrer. J’ai reçu sur Facebook une invitation d’une amie pour fêter sa pendaison de crémaillère de son nouvel appart, et aussi accessoirement pour célébrer son retour du Québec. Et dans la liste des invités il y avait cette fille dont je jurais avoir déjà vu sa photo de profil. Le filtre Valencia trahit peut-être la photo mais la minette est délicieuse. En fait, on s’était déjà parlé sur adopteunmec. Du coup connaissant son nom j’en profite pour aller la taquiner sur adopte :
– Alors on ne dit pas bonjour Chloé Xxx ? 🙂
– Lol bonjour mais comment tu connais mon nom ? non parce que je flippe un peu là
– Je suis ton père
– Très drole. Tu es intriguant comme garçon un peu
Je lui explique la situation et bonne nouvelle elle sera aussi présente à la soirée et d’un accord tacite on se donne rdv chez ma pote. Le jour J, j’arrive en retard à la soirée et je crois bien être le dernier qui arrive. J’ouvre la porte et j’aperçois Chloé, debout à quelque pas du comptoir, conversant avec une autre fille, osant à peine toucher à sa coupe de champagne. On se fixe des yeux. Je souris mais elle détourne le regard. Elle ne feint un rictus que lorsque je viens la saluer. Accueil glacial ou bien timide, je ne sais pas.
Chloé est sublime. Avec sa robe rouge on ne voit qu’elle. Malgré tout, le début de soirée est plus que morne. Chloé m’ignore ou fait semblant. On en vient à gouter les spécialités québécoises. Mon amie nous sert de la Poutine, un plat québécois aussi vulgaire que leur accent. En gros c’est un amas de saucisses et de frites qu’on recouvre de fromage fondu. C’est grossier, ça ressemble à du gerbis et visuellement parlant c’est aussi agréable que d’avoir Delphine Batho nue en fond d’écran. L’horreur. Après le repas, je pars en direction du comptoir pour voir ce qu’il y a à boire mais surtout pour me rapprocher de Chloé. J’entends qu’elle parle de taxi pour rentrer, et là ma pote m’interpelle et me dis quelque chose du genre « Eh mais Arthur tu habites aussi vers là bas non? Ha bah voilà vous pourrez rentrer ensemble ». C’est là qu’on reconnait ses amis, elle m’arrange le coup comme une reine.
A partir de ce moment on ne se quittera plus. On a très rapidement flirté et c’est plutôt chose facile avec elle. L’alcool aidant ce n’est plus du tout la Chloé coincée du début de soirée. Elle est coquine, joueuse et cherche sans cesse le contact. Elle prend ma place sur le sofa dès que je me lève. Je la fais assoir sur mes genoux. Son bras passe autour de mon cou, son autre main glisse sur mon torse. Elle érotise le moment alors qu’on commence à parler de choses sérieuses. Une chose me frappe, ses jambes sont brulantes. La chaleur de ses jolies pattes passe à travers le tissu de mon pantalon. Ce petit feu naissant entre nous crépite, on l’attise doucement. Ses caresses s’enhardissent, nos visages sont proches mais on ne s’embrasse pas. Je vois beaucoup de choses dans ses petits yeux de biche. Je sens le désir qui l’envahit de baptiser sur-le-champ ce nouvel appart.
– J’ai envie de calins, de bisous
– Prend le casque à coté de la porte on passe à l’appart
Je la ramène en scooter et l’ivresse de cette soirée nous rend comme des petits fous. Je ne vais pas très vite, mais dès que j’accélère mademoiselle devient hystérique. Les sensations sont décuplées, on se marre sans trop savoir pourquoi. Arrivés devant chez moi, elle a les yeux qui pétillent et la voie qui grésille. Elle est encore plus irrésistible décoiffée.
Le lendemain et pendant tout le week-end elle reste chez moi pour profiter du wifi. Dimanche soir, j’ai la tête sous l’eau à cause du boulot, je bosse tard. A 2h du mat je pars me coucher, encore agité et stressé par les taches effectuées et la courte nuit qui m’attend. Chloé est déjà assoupie, je me glisse entre les draps sans faire de bruit. Un instant après elle commence à bouger, et dans un bruit sourd elle se faufile sous les draps, son instinct féminin la guidant pour me prendre en bouche. Sans le savoir c’est exactement ce qu’il me fallait à cet instant là. Je me détends, je suis calme, je ne pense plus à rien. Cette pipe est la plus agréable que j’ai eu depuis bien longtemps. Cette nuit là j’ai peu dormi, mais j’ai très bien dormi.


« Pauline, 24ans, 8eme arnd, cheveux blonds, est plutôt femme enfant ». C’est malheureusement les seules infos qu’il y a sur son profil. Le reste est vide. Mais la belle nous fait quand même grâce de 8 superbes clichés. Ses photos sont proprettes, pas un bout de décolleté qui y apparait, l’impression d’avoir affaire à une gentille petite écolière née avec une cuillère d’argent entre les dents et un balai dans les fesses. Un côté fille sage, un peu coincée, qu’elle entretient avec des photos de profil d’où n’émane aucune once de folie, si ce n’est ces filtres Instagram pour la jouer branchouille. Il n’y a juste que ses lèvres naturellement gourmandes qui atténuent cette impression de raisonable. Malgré tout, il faut reconnaitre qu’elle a un très très joli visage.
Oui normalement il faut être majeur pour être sur adopte, mais pour beaucoup ce n’est pas un problème, il suffit de se rajouter une année à l’inscription, et hop! La voilà dans le monde de la rencontre. Donc ouais, sur sa fiche elle dit avoir 18 ans, et a mentionné comme profession étudiante. Le mot est laché seul, sans précision particulière sur sa filière. Ça plus le fait qu’elle ait 18 ans, ça respire le faux et je me doute bien qu’elle doit être au lycée. Mais pour être honnête je m’en contrefiche de son age. Elle a un joli visage (des yeux de chaton, des joues légèrement parsemées d’éphélides, des cheveux couleur auburn) et surtout des attributs féminins qui m’ont l’air imposants. Ca m’intéresse.